Le Collège classique fascine par la qualité et la profondeur de sa formation comme base de développement intellectuel et schème de réflexion et d'analyse.
"En d'autres mots, le genre de formation qui permet de se faire une tête en comptant davantage sur sa culture générale, sa capacité d'analyse et de liens avec le contexte historique... que sur ce qu'a dit la dernière personne avec qui on vient de parler".
La formation du Collège classique mettait l'emphase sur l'histoire, la théologie, la philosophie, la littérature, surtout les classiques des auteurs anciens et la rhétorique. Le Collège classique version originale, c'est huit ans d'études... à temps plein ! Clairement, ce n'est pas très réaliste pour une clientèle de jeunes professionnels.
Le défi est donc le suivant: développer des formations courtes, intensives et inspirantes qui reprennent les meilleurs objectifs du Collège classique, mais adaptées aux réalités de la vie des jeunes professionnels.
Objectifs:
La formation, même si inscrite dans des cadres historiques, fait toujours des liens avec des problématiques actuelles, des enjeux d'aujourd'hui.
Une image: Socrate, enseignant et partageant avec ses élèves.
"En d'autres mots, le genre de formation qui permet de se faire une tête en comptant davantage sur sa culture générale, sa capacité d'analyse et de liens avec le contexte historique... que sur ce qu'a dit la dernière personne avec qui on vient de parler".
La formation du Collège classique mettait l'emphase sur l'histoire, la théologie, la philosophie, la littérature, surtout les classiques des auteurs anciens et la rhétorique. Le Collège classique version originale, c'est huit ans d'études... à temps plein ! Clairement, ce n'est pas très réaliste pour une clientèle de jeunes professionnels.
Le défi est donc le suivant: développer des formations courtes, intensives et inspirantes qui reprennent les meilleurs objectifs du Collège classique, mais adaptées aux réalités de la vie des jeunes professionnels.
Objectifs:
- Approfondir sa capacité d'analyse et sa capacité de faire des liens avec le contexte historique;
- Enrichir sa culture générale, surtout dans le champs de la philosophie, de l'histoire et de la politique;
- Développer une meilleure capacité d'analyse et d'identification des enjeux fondamentaux (par delà les premières impressions, jugements partisans, contextes à courte-vue);
La formation, même si inscrite dans des cadres historiques, fait toujours des liens avec des problématiques actuelles, des enjeux d'aujourd'hui.
Une image: Socrate, enseignant et partageant avec ses élèves.
Formule
- Groupe très restreint (14 participants maximum par séance); très grande attention et valeur accordée à la composition du groupe (expérience riche et comparable; opportunités d'échanges et de réseautage);
- Formation sur une journée;
- Coûts: 100$ par formation (crédit d'impôt disponible);
- Non-créditée (crédits universitaires disponibles pour ceux qui le désirent, détails sur demande);
- Accompagnement par une lecture préalable: une semaine / 10 jours avant la rencontre, un court texte et quelques questions vous seront envoyés afin d'équiper et de lancer votre réflexion;
- Formateur hors-pair: le formateur est d'une qualité exceptionnelle (intellect, bagage académique, talents magistraux, expérience terrain, etc.)
Un formateur hors-pair
Maxime Allard, o.p. Président, Collège universitaire dominicain.
Maxime Allard est dominicain. Détenteur d'un doctorat en théologie de l'Université Laval, il est professeur de philosophie et de théologie au Collège universitaire dominicain à Ottawa (Canada) ainsi qu'au Centre des Études Institutionnelles des Dominicains à Lille (France).
Spécialisé en éthique théologique, en philosophie de la religion et en philosophie politique, il est aussi professeur associé à la Faculté de théologie et des sciences des religions de l'Université de Montréal et collabore à la Chaire de recherche "Religion, spiritualité, santé" à l'Université Laval.
Suite à des séjours prolongés en Afrique du Sud ainsi qu'au Rwanda et au Burundi, il s'intéresse aux questions des interactions entre le développement économique et social, les régimes politiques et les configurations religieuses.
Maxime Allard est dominicain. Détenteur d'un doctorat en théologie de l'Université Laval, il est professeur de philosophie et de théologie au Collège universitaire dominicain à Ottawa (Canada) ainsi qu'au Centre des Études Institutionnelles des Dominicains à Lille (France).
Spécialisé en éthique théologique, en philosophie de la religion et en philosophie politique, il est aussi professeur associé à la Faculté de théologie et des sciences des religions de l'Université de Montréal et collabore à la Chaire de recherche "Religion, spiritualité, santé" à l'Université Laval.
Suite à des séjours prolongés en Afrique du Sud ainsi qu'au Rwanda et au Burundi, il s'intéresse aux questions des interactions entre le développement économique et social, les régimes politiques et les configurations religieuses.
Le collège classique 2.0; la genèse...
Le Collège néo-classique fait revivre de façon originale le collège classique, ce cursus scolaire unique au Canada francophone qui a formé des générations de penseurs, de gens d’affaires et de dirigeants politiques du Québec.
Il y avait un besoin, car la disparition du collège classique a laissé un grand vide dans le paysage scolaire québécois. Fondé par les Jésuites en 1635, il prodiguait huit ans d’une formation de haut niveau. On y enseignait la syntaxe, la méthode, la rhétorique, les belles-lettres, la philosophie. Mais depuis son abolition au tournant des années 1970 dans la foulée de la réforme du système d’éducation, les écoles du Québec effleurent à peine ces grands thèmes.
Déplorant l’absence et le manque d’une formation «classique» au Québec, Guillaume Lavoie et de Maxime Allard ont fondé le Collège néo-classique en novembre 2010. Guillaume, qui était alors chargé de cours à l’ENAP et analyste média en politique américaine, allait en assurer la gestion, tandis que Maxime, président du Collège universitaire dominicain à Ottawa, allait animer les séminaires. La formule était lancée.
Le premier séminaire, intitulé « Nations et nationalismes », a attiré 12 participants. La participation n’a jamais fléchi depuis lors. Début 2017, le Collège néo-classique a réuni pas moins de 153 participants au fil des 63 éditions qu’il a organisées à Montréal, à Québec et à Ottawa, en français comme en anglais. Au total c’est plus de 520 participations depuis la fondation.
Le profil des participants a toujours été le même : des professionnels de 25 à 40 ans qui oeuvrent en politique, dans les médias, dans les universités, dans le monde des affaires, dans le milieu syndical et communautaire. Il s’impliquent beaucoup dans leur communauté et font bouger les choses. Ils ont une soif d’apprendre et d’agir.
Le Collège néo-classique offre une formation en philosophie politique. Démocratie, nationalisme, justice sociale, rhétorique, leadership politique, cynisme… De nombreux thèmes fondamentaux sont abordés. Au cours des séminaires, on plonge, décortique et discute les œuvres de Platon, de Sénèque, de Thomas Hobbes ou encore de Max Weber avec Maxime Allard, qui maîtrise aussi bien la pensée de ces auteurs qu’il est en mesure de la vulgariser. En faisant revivre ces grands classiques, les participants développent – paradoxalement ! – des perspectives nouvelles sur les problèmes contemporains et peuvent ainsi développer de meilleurs arguments.
Le Collège néo-classique souhaite outiller les citoyens de la génération montante afin de mieux faire face aux défis sociaux, politiques et économiques du 21e siècle.
Il y avait un besoin, car la disparition du collège classique a laissé un grand vide dans le paysage scolaire québécois. Fondé par les Jésuites en 1635, il prodiguait huit ans d’une formation de haut niveau. On y enseignait la syntaxe, la méthode, la rhétorique, les belles-lettres, la philosophie. Mais depuis son abolition au tournant des années 1970 dans la foulée de la réforme du système d’éducation, les écoles du Québec effleurent à peine ces grands thèmes.
Déplorant l’absence et le manque d’une formation «classique» au Québec, Guillaume Lavoie et de Maxime Allard ont fondé le Collège néo-classique en novembre 2010. Guillaume, qui était alors chargé de cours à l’ENAP et analyste média en politique américaine, allait en assurer la gestion, tandis que Maxime, président du Collège universitaire dominicain à Ottawa, allait animer les séminaires. La formule était lancée.
Le premier séminaire, intitulé « Nations et nationalismes », a attiré 12 participants. La participation n’a jamais fléchi depuis lors. Début 2017, le Collège néo-classique a réuni pas moins de 153 participants au fil des 63 éditions qu’il a organisées à Montréal, à Québec et à Ottawa, en français comme en anglais. Au total c’est plus de 520 participations depuis la fondation.
Le profil des participants a toujours été le même : des professionnels de 25 à 40 ans qui oeuvrent en politique, dans les médias, dans les universités, dans le monde des affaires, dans le milieu syndical et communautaire. Il s’impliquent beaucoup dans leur communauté et font bouger les choses. Ils ont une soif d’apprendre et d’agir.
Le Collège néo-classique offre une formation en philosophie politique. Démocratie, nationalisme, justice sociale, rhétorique, leadership politique, cynisme… De nombreux thèmes fondamentaux sont abordés. Au cours des séminaires, on plonge, décortique et discute les œuvres de Platon, de Sénèque, de Thomas Hobbes ou encore de Max Weber avec Maxime Allard, qui maîtrise aussi bien la pensée de ces auteurs qu’il est en mesure de la vulgariser. En faisant revivre ces grands classiques, les participants développent – paradoxalement ! – des perspectives nouvelles sur les problèmes contemporains et peuvent ainsi développer de meilleurs arguments.
Le Collège néo-classique souhaite outiller les citoyens de la génération montante afin de mieux faire face aux défis sociaux, politiques et économiques du 21e siècle.